Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Origine
Biographie ou Histoire
C'est en 1963 qu'est nommé le premier attaché culturel (M. Formery) auprès du consul général de France à Québec, ainsi que le premier attaché culturel auprès du consul de France à Montréal (M. Bernard).
Le début des contacts entre le gouvernement français et le gouvernement québécois (Jean Lesage) qui souhaitait alors la mise en œuvre de projets de développpement économique permettant aux Québécois d'être "maîtres chez eux " (brochure sur la coopération franco-québécoise, 1976, article 12) avait été marqué par l'établissement d'une Maison du Québec à Paris en 1961, qui devient en 1964, avec l'échange de lettres entre le président de l'Association pour l'organisation de stages en France (Astef), Marcel Demonque, et le ministre de la Jeunesse du Québec, Paul Gérin-Lajoie, la première mission diplomatique du Québec en prenant le statut de Délégation générale. L'échanges de lettres prévoyait un programme de coopération technique et la mise en place d'une commission mixte. Mais, dès 1965, des accords dans le domaine pédagogique, linguistique (francophonie) et technique, dans le domaine de la recherche et le domaine culturel sont signés et une Commission permanente de coopération franco-québécoise est mise en place. Elle se réunira tantôt à Québec, tantôt à Paris. Suite à la visite du général de Gaulle en 1967 et à la signature d'un "Procès-verbal en matière de coopération" par Daniel Johnson, Premier ministre, et Alain Peyrefitte, ministre de l'Education nationale, les liens déjà privilégiés entre les deux communautés francophones sont renforcés, les domaines de coopération étendus et les moyens considérablement augmentés : l'Office franco-québécois de la jeunesse (OFQJ) est créé en 1968 ; parallèlement, les missions du consulat de France à Québec s'élargissent - les questions de coopération dans l'ensemble de la province sont traitées directement par ses services et non plus, sauf exception, par les services de l'ambassade à Ottawa -, tandis qu'un bureau du SCAC de Québec est créé à Montréal.
Histoire de la conservation
Le Service de coopération et d'action culturelle est installé aux 3ème et 4ème étage du bâtiment accueillant le consulat général de France à Québec, 25 rue Saint Louis. Il ne disposait en 1998 d'aucune gestion centralisée de ses archives et celles-ci étaient, une fois les dossiers clos, mises en cartons et transférées à la cave qui pouvait accueillir près de 200 m.l. d'archives sur des rayonnages métalliques.
En 1998, au moment d'une première mission d'archives s'étant intéressée au SCAC de Québec, la cave était saturée de cartons mal identifiés et mal rangés en raison de déménagements successifs, portant grosso modo sur les années 1962-1996.
Se trouvaient également dans cette cave, les archives du bureau de Montréal jusqu'en 1994.
Modalités d'entrées
Versements enregistrés sous les n° 2001/27 (133 articles, mai 2001) et 2002/40 (430 articles, novembre 2002)
Présentation du contenu
Ce fonds est composé de deux tranches chronologiques :
* (1947) 1960-1979 : articles 1 à 132
* 1980-1995 : articles 133 à 560
Les dossiers des COCAC ont été versés annuellement et à part ; ils se trouvent au début de chaque tranche chronologique.
De nombreux dossiers nominatifs (bourses, missions, invitations...) ont été conservés contrairement aux instructions en raison de l'importance quantitative et qualitative de la coopération franco-québécoise jusque dans le milieu des années 1980.
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés producteurs
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Origine
Autre instrument de recherche
Etat de versement des archives rapatriées du service culturel, scientifique et de coopération au Québec, 1980-1995, poste, juillet 2002, CADN, juillet 2009, mise à jour, novembre 2020, 81 p., dactyl.
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Autres données descriptives
En novembre 2020 une annexe nominative est créée.
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