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Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Origine
Biographie ou Histoire
Poste créé en 1805.
Modalités d'entrées
Versements.
Mode de classement
Ce fonds s'organise comme suit :
ARCHIVES ANTERIEURES A 1965
ARCHIVES POSTERIEURES A 1965
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés producteurs
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Modalités d'entrées
Rapatriements de 1959 et 1981. Les dossiers antérieurs au 31 décembre 1918 ont été répartis dans les séries A (dossiers de principes) et D (dossiers nominatifs) ; les dossiers postérieurs à cette date constituent la série B.
Autre instrument de recherche
Répertoire numérique détaillé des archives rapatriées du consulat de France à La Nouvelle-Orléans, série A, an XIII-1918, Elisabeth de Grimoüard-Caude, conservateur du patrimoine, 1999-2000, 191 p, dactyl.
Cote/Cotes extrêmes
Cote/Cotes extrêmes
Cote/Cotes extrêmes
Présentation du contenu
La correspondance que le poste échange avec le ministère de la Marine concerne des affaires relevant des directions des Fonds et des Invalides, du Personnel, des Colonies, du bureau des Prises, de la Police de navigation, de l'Inscription maritime et recrutement.
Cote/Cotes extrêmes
Date
Présentation du contenu
L'article contient encore des dépêches relatives au projet de colonisation de la Guyane (15 juin 1825). Il renferme également des documents sur la fabrication du sucre, notamment sur le procédé du chevalier de la Croix (28 juin 1825) et surtout des informations sur les indemnités de Saint-Domingue. Le consul, dans sa dépêche du 29 novembre 1825, montre comment « la plus grande partie de la population française de la Louisiane se compose d'anciens colons de Saint-Domingue et que dans le nombre, qui s'élève probablement à plus de mille, il se trouve plusieurs des grands propriétaires de cette colonie ». Il retrace comment ces planteurs chassés une première fois de Saint-Domingue, notamment en 1793 et en 1803, ont trouvé refuge à Cuba où ils ont rétabli leur fortune jusqu'aux persécutions espagnoles de 1808 et 1809, qui les ont de nouveau dépouillés. Il propose la création d'une commission locale chargée de l'examen des réclamations et susceptible de mieux informer la commission centrale établie à Paris ; elle serait composée des représentants du roi en poste à La Nouvelle-Orléans, à La Havane et à Santiago-de-Cuba, et d'un nombre déterminé d'anciens colons. Il met enfin en garde le gouvernement contre la difficulté de reconstitution des actes d'état civil et de propriété concernant ces anciens colons. On signalera toujours à ce propos une autre dépêche, du 20 juin 1828, faisant part au gouvernement d'une pétition de ces derniers pour recevoir l'autorisation après avoir été indemnisés, d'aller coloniser la Guyane. Cette dépêche est l'occasion pour le consul de faire le tour de la situation politique et économique des Antilles et du golfe du Mexique.
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