Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Origine
Biographie ou Histoire
Ambassadeurs en postes :
1984-1993 Yvon Omnès
1993- Gilles Vidal
Histoire de la conservation
La première chancellerie était installée dans une villa privée achetée à un certain Gerberon en 1960 situé avenue Horace-Mallet (devenue aujourd'hui l'avenue Charles de Gaulle). Les services s'y sont installés la même année. En parallèle l'Etat français a pris à bail un terrain situé sur le plateau Atémengué sur lequel il fait construire la résidence de l'ambassadeur. Dès la fin des années 1960, on cherche à regrouper tous les services à un seul endroit. On décide donc la construction d'un nouveau bâtiment pour abriter les services de la chancellerie dans la concession louée à l'Etat camerounais et sur lequel se trouve déjà la résidence de l'ambassadeur sur le plateau Atéméngué. Les travaux s'achève en 1973 et les services y sont transférés la même année. Le bâtiment de l'ancienne chancellerie situé rue Horace-Mallet est loué au lycée français Fustel-de-Coulanges où il se trouve encore aujourd'hui.
En 2022 et depuis 1973, les services de la chancellerie occupent toujours le même bâtiment.
Notes
Dans le dossier du CAD, on trouvera un CD-Rom contenant une version du site internet de l'ambassade, datée de 2003. On trouvera aussi l'impression papier de l'historique, très complet, de la représentation française au Cameroun rédigé par Jean-Paul VEZIANT en 2003. Diffusion au public ? Dans l'introduction, il écrit : "ces notes, qu'un vrai travail d'archives devrait conforter, sont, dans leur caractère inachevé, strictement confidentielles".
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés producteurs
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Origine
Biographie ou Histoire
Le territoire du Cameroun passe, durant la période couverte par le fonds, du régime de tutelle au statut d'Etat de la Communauté (1958-1959) puis devient indépendant le 1er janvier 1960.
Histoire de la conservation
Les archives du Haut-commissariat ont été conservées jusqu'en 1967 à l'ambassade de France à Yaoundé, puis au quai d'Orsay jusqu'en 1983. A cette date, elles ont été transférées au Centre des Archives diplomatiques de Nantes.
Modalités d'entrées
Versement à la direction des Archives (Paris) en 1967, au Centre des Archives diplomatiques de Nantes en 1983
Présentation du contenu
Les archives permettent d'appréhender l'histoire du nationalisme camerounais après la Seconde Guerre mondiale.
Elles sont structurées selon le plan suivant :
- Correspondance du haut-commissariat avec les chefs de région, rapports annuels
- Rapports politiques des chefs de subdivision à destination du haut-commissariat, Région du Nyong et Sanaga
- Elections législatives de janvier 1956
- Direction du cabinet du haut-commissariat
- L'Union des populations du Cameroun (UPC) et ses activités : rapport des autorités françaises
- Inspection des affaires administratives
- Conférences internationales concernant le Cameroun
- Régime de tutelle du Cameroun
- Affaires internes du Cameroun
Langue des unités documentaires
Autre instrument de recherche
Inventaire des archives rapatriées du Haut-commissariat de la République française au Cameroun, 1950-1960, CADN, juin 2005, 8 p., dactyl.
Voir l'instrument de recherche
Documents en relation
Au Centre des Archives diplomatiques de Nantes :
- Yaoundé (ambassade). 491 articles, (1908) 1960-1987. Répertoire numérique, poste, février 1999, et CADN, novembre 2002, 72 p., dactyl.
- Yaoundé (mission de coopération et d'action culturelle). Env. 950 articles en 2 versements, circa 1960-1989, Etats de versement du poste, partiels (le 2e muni d'un index)
- Représentation permanente auprès de l'Organisation des Nations-unies (ONU - New York), 987 cartons, 1945-1985, Etat de versement, poste. Série du Conseil de tutelle (1945-1987)
Au Centre des Archives d'outre-mer à Aix-en-Provence :
- Archives ministérielles
Aux Archives nationales du Cameroun :
- Série des Affaires politiques africaines (APA)
Mots clés lieux
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