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Origine
Biographie ou Histoire
Delcassé est une des plus grandes figures du parti républicain. Ministre des Affaires étrangères de juin 1898 à juin 1905, il est l'artisan de l'Entente cordiale, réconciliation très attendue avec l'Angleterre après l'affaire de Fachoda. À la suite du coup de Tanger, le 31 mars 1905, il est contraint de quitter le pouvoir, accusé d'avoir exacerbé les tensions franco-allemandes. Mais il revient bientôt aux affaires. Ministre de la Marine de mars 1911 à janvier 1913, il conclut une importante convention navale franco-anglaise qui prépare le conflit à venir. Ambassadeur à Saint-Pétersbourg de février 1913 à janvier 1914, ministre de la Guerre brièvement en juin 1914, il est à nouveau ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement Viviani qui fait face à l'invasion allemande, d'août 1914 à octobre 1915.
Histoire de la conservation
Le fonds a été constitué principalement en trois étapes :
- un minuscule début constitué lors des scellés après le décès de Delcassé ;
- le don de la majorité des papiers par sa fille, Suzanne Noguès, en décembre 1962 ;
- un petit complément en novembre 1965.
Selon le témoignage de sa fille (211PAAP/26), Théophile Delcassé n'avait pas le goût des archives : « l'action le réclamait d'abord. Il gardait, pêle-mêle, une fois vus et, par précaution, les papiers qu'il pensait susceptibles d'être utiles dans un délai plus ou moins proches, mais non pour un objectif historique ». Aussi peut-on croire que le fonds eût pu être plus riche ; des destructions en firent autrement. On sait en effet que les papiers de Delcassé connurent plusieurs malheurs. C'est lors de la levée des scellés à son domicile le 8 mars 1923 que le lieutenant-colonel Charles Noguès, gendre de Delcassé, apprit aux agents du ministère que son beau-père avait procédé à la destruction de nombreux papiers lors de l'avancée des Allemands sur Paris (donc en 1918) ; on apprend encore, par sa fille, que sa correspondance avec la marquise de Laguiche disparut pendant la Seconde Guerre mondiale (211PAAP/26, p. xi).
Après le décès de Théophile Delcassé, des scellés furent apposés à ses différents domiciles à Paris (11 boulevard de Clichy) et à Ax-les-Thermes (Ariège). Toutefois, les seuls documents publics trouvés furent pris à Paris lors de la levée des scellés le 8 mars 1923, à savoir deux copies de lettres et un mémoire polycopié. Cependant, dans l'actuelle chemise « pièces retirées de la succession à Paris » (211PAAP/35), on en trouve cinq : ont dû être ajoutées ultérieurement la lettre de Pierre Lucy-Fossarieu de 1902 et celle de Jules Heilmann, consul de France à Riga, datée du 17 novembre 1918. Charles Noguès s'engagea à remettre aux agents du ministère les documents publics qui seraient découverts ultérieurement. Des papiers furent pourtant conservés par la famille, comme il apparut par la suite.
Après la publication de la biographie Édouard VII et son temps en 1933, la Commission des origines de la Guerre fut surprise de constater que Suzanne Noguès avait communiqué à son auteur André Maurois des pièces inédites de la correspondance de Théophile Delcassé, particulièrement des lettres que lui avaient adressées Camille Barrère et Paul Cambon ; il l'avait en effet citée malgré la discrétion qu'elle lui avait demandé. Le ministère lui fit alors une réclamation de la part du ministre Barthou, pour lui rappeler que ces papiers n'auraient pas dû être livrés à la publicité sans l'agrément du ministère.
Depuis 1930 au moins, Mme Noguès avait commencé de se dévouer à conserver la mémoire de son père, en s'attachant à rassembler et collecter des documents et de la correspondance, qu'elle soit originale ou copiée. L'essentiel du fonds actuel est le résultat de ce travail : en attestent plusieurs lettres issues de la correspondance qu'elle entretint avec Saint-René Taillandier, Camille Barrère, Maurice Bompard et Jean-Jules Jusserand. Elle sollicita en effet plusieurs diplomates pour retrouver des documents originaux dans leur correspondance avec son père.
Elle fit donc établir, par des secrétaires improvisés (souvent militaires, au cours de la carrière de son mari), des copies des lettres, comme celles adressées par Barrère et Paul Cambon à Delcassé (dont les originaux disparurent pendant la Seconde Guerre mondiale, ce qui confère une valeur importante à ces copies). Ceci explique la présence fréquente de transcriptions qui accompagnent les originaux ou se substituent à eux.
Les archives de la direction des archives montrent qu'elle remit des lettres de Delcassé qui furent déposées dans le fonds Barrère (probablement les documents conservés dans les papiers d'agents en 8PAAP/8) ; on peut croire que cette remise se fit en même temps que le don (plus clairement daté en 1934) de copies de lettres de Paul Cambon à son père, qu'elle avait fait établir en trois exemplaires pour :
- les Archives nationales ;
- le Quai d'Orsay ;
- Henri Cambon, fils de Paul Cambon (probablement celles qui se trouvent actuellement en 42PAAP/78).
Les copies remises au ministère, qui furent communiquées à la Commission des origines de la Guerre de 1914, brûlèrent en 1944 dans le bureau où elles étaient restées. La Seconde Guerre mondiale provoqua d'autres pertes (comme la correspondance avec la marquise de Laguiche et les originaux de lettres de Barrère), sans précision sur les circonstances précises des destructions ni sur le volume des papiers concernés.
C'est en 1962 que Suzanne Noguès fit le don principal, avec des pièces déjà en ordre, minutieusement classées et identifiées. Sur l'intervention de Pierre Renouvin, la description des papiers contenus dans quatre caissettes fut alors confiée à Pierre Nora, alors pensionnaire de la Fondation Thiers, qui rédigea un volumineux inventaire analytique et une introduction reproduite dans le présent inventaire synthétique ; ce travail figure également dans le rapport d'activité qu'il adressa à la Fondation pour l'année 1962-1963 [1]. Ce n'est qu'après qu'une partie du fonds fut reliée en vingt-cinq registres (ce qui a modifié l'aspect visuel du fonds, par exemple avec ce qui fut décrit comme un dépliant en 211PAAP/23). Il fut complété par les copies qui se trouvaient dans les papiers Barrère, elles-mêmes déposées par Suzanne Noguès, pour remplacer les originaux disparus pendant la guerre, et un travail de collation fut effectué.
La donatrice ayant insisté pour que le fonds fut communiqué aux chercheurs (les papiers d'agents n'étaient alors pas ouverts aux études historiques en principe), on autorisa leur consultation à Christopher Andrews, doctorant de l'université de Cambridge et boursier de l'Institut britannique de Paris ; il fut ainsi le premier historien à exploiter ces archives, et sa thèse fut publiée en 1968 (cf bibliographie). Le fonds fut plus largement ouvert à la recherche en même temps que d'autres papiers par un décret en 1965, peu avant le décès de Suzanne Noguès.
Elle avait proposé en 1964 de donner les quelques documents qu'elle conservait encore par-devers elle : les discours de Théophile Delcassé, une chemise « Vatican » et des lettres à sa femme, sa fille et quelques amis. Ce complément ne fut finalement donné qu'en 1965 après son décès. On sait avec certitude que, par le biais de Mme Blanckaert qui avertit de cette mort J. Wolfron, le directeur des Archives diplomatiques de l'époque, la comtesse de Verthamon remit le volume de correspondance personnelle de Delcassé sélectionnée par sa fille (211PAAP/26), déjà relié, ce qui explique sa reliure différente des autres et le fait que son existence ait été ajoutée à la main dans l'inventaire analytique. Quant aux discours et au dossier « Vatican », nous n'en avons pas retrouvé la trace.
[1] Archives du Centre national de la rechercherche scientifique (CNRS), 910024 DCP, dossier de Pierre Nora (communication de Mme Loïse Scherer, archiviste).
Modalités d'entrées
Scellés en 1923, puis dons Suzanne Delcassé en 1962 et 1965.
Présentation du contenu
[Ce texte reproduit l'introduction de l'inventaire analytique daté de juillet 1963, qui a été rédigé par Pierre Nora].
Les papiers Delcassé, par les renseignements abondants et variés qu'ils sont susceptibles de fournir, représentent une contribution de premier ordre non seulement à l'histoire des relations internationales [1], mais à celle de la IIIe République jusqu'à la guerre de 1914. Précisons qu'il s'agit moins de papiers personnels de Delcassé que de papiers lui appartenant. Mis à part quelques dossiers de documentation constitués ou rédigés par Delcassé lui-même, notes, lettres ou brouillons, l'essentiel des cartons (indépendamment des dépêches et coupures de presse) représente une correspondance adressée à Delcassé ; correspondance privée ou correspondance particulière du ministre ? On l'ignore en général, comme on ignore l'histoire exacte du fonds. Sans doute Delcassé prit-il lui-même le soin de grouper certains ensembles, très limités, sous enveloppe. Mais pourquoi ceux-là et point d'autres [2] ? Avons-nous là tous les papiers laissés par le ministre ?[3] Comment faire le départ entre ce que l'homme d'État a voulu conserver et ce que son héritière et donataire, par un labeur aussi pieux qu'éclairé, a su reconstituer ?
Les papiers Delcassé, en effet, tels qu'ils se présentent, portent la marque de madame Noguès [4]. On ne lui doit pas seulement le dépôt du fonds, mais la patiente élaboration de son unité, le sauvetage d'une quantité de pièces, la détermination judicieuse de bien des dates et de nombres d'identités, enfin et surtout le cadre général de classement.
Ainsi avons-nous scrupuleusement respecté l'œuvre réalisée par madame Noguès, fruit d'un travail de bientôt quatre décennies et ne nous sommes crus autorisés à y apporter que les rares modifications qu'imposaient les exigences d'une consultation scientifique.
Quatre parties donc : CORRESPONDANCES, DOSSIERS PAR PAYS, DOSSIERS PAR FONCTION (après 1905), INFORMATION ET DOCUMENTATION.
On a cherché à pallier par des renvois les chevauchements inévitables, en particulier entre les deux premières parties. Les dossiers par pays concernent les affaires que le ministre eut à traiter de 1898 à 1905. Mais les ambassadeurs, fidèles et amis du ministre, tels Camille Barrère ou Paul Cambon, doublaient leur correspondance officielle d'une abondante correspondance privée et de plus, après la démission du ministre, ne cessèrent point de lui écrire. Cette correspondance, qui ne comprend que de très rares réponses ou brouillons de réponses de Delcassé, a été classée en quatre rubriques. La correspondance des diplomates constitue l'ensemble le plus important. Puis viennent les personnalités du monde politique, militaire, intellectuel ou financier. On a cru bon de classer à part la correspondance des journalistes, et d'y adjoindre, quelque peu arbitrairement, le cas unique d'un informateur politique anonyme, noble autrichien remarquablement renseigné, qui révèle son nom (de Bulasy) après la chute du ministre. Le dernier dossier comprend les lettres que, de 1905 à 1915, d'une démission à l'autre, certaines dates marquantes de sa carrière ont valu au ministre.
Elles peuvent être mises en rapport par delà la série des dossiers par pays, qui ne posent pas de problèmes avec trois dossiers, par FONCTIONS (de 1901 à 1915) que nous avons constitués à partir d'un fonds « divers » : le ministère de la Marine (1911-1912), l'ambassade de Saint-Pétersbourg (1912-1913) et le second ministère des Affaires étrangères (1913-1914) éclairent des aspects généralement moins connus de la carrière de Delcassé.
La partie INFORMATION ET DOCUMENTATION se décompose enfin en deux sous-parties de nature très différente. La première est la moins longue non pas la moins intéressantes : il s'agit ici, sur les affaires les plus diverses, de liasses constituées par Delcassé lui-même, tandis que toute la seconde partie est une très riche documentation de presse collectée et admirablement présentée par madame Noguès.
Le travail d'archiviste n'étant pas un travail d'historien, on se gardera de porter un jugement d'ensemble que seule autoriserait une étude appronfondie. Pour apprécier la richesse de l'information, il conviendrait d'abord de confronter la correspondance privée des ambassadeurs avec la correspondance diplomatique [5] ; de rapprocher les dépêches ici retenues de l'ensemble des dépêches recues par le Département, de nuancer l'éclat que donnent à certaines affaires l'ampleur des archives (incident de Hull, par exemple) par l'ensemble des documents accessibles. Si l'étude des papiers Delcassé n'apportait pas de réponses décisives aux questions posées par les historiens des relations internationales [6], à tout le moins lèverait-elle une hypothèque qui a longtemps pesé sur la recherche.
Une des raisons qui explique sans doute l'ombre qui enveloppe les intentions du ministre et les étapes de sa pensée est l'habitude qu'il avait de donner des instructions verbales aux auxiliaires de sa politique. « Il me semble que les évènements russes sont bien exagérés, écrivait par exemple Pierre de Coubertin le 28 janvier 1905, mais j'aimerais en causer avec vous ». Ce dernier membre de phrase revient dans la correspondance des ambassadeurs à chaque moment important de leur mission et ces fréquentes entrevues justifient partiellement le silence des archives. « Je n'ai pas à vous rappeler combien il était sobre de lettres particulières, écrit ainsi Saint-René Taillandier à madame Noguès le 30 octobre 1931 ; à peine ai-je de lui deux ou trois billets ! »
Ainsi se précisent ici les méthodes de Delcassé. D'autant plus précieux apparaissent, dans leur rareté, ses brouillons et notes personnelles. Voici quelques réponses suivies à un correspondant (ex. : « réponses à Denys Cochin, cf. CORRESPONDANCE, « Personnalités ») ; voici une conversation importante mot à mot consignée (cf. dossier « Allemagne » 21 octobre 1903 « Après une visite du Prince Radolin ») ; voici surtout, sur des questions pour lui nouvelles (cf. dossiers PAR FONCTIONS, « Ministère de la Marine ») des liasses de l'identique papier petit format couvert de cette écriture au long des pages comme au fil des ans, ferme, fine et cursive. C'est là qu'apparaît, dans son infatigable présence, le grand nerveux qui se contrôle, intransigeant sur les devoirs de sa charge, scrupuleux, vigilant, se mêlant aussi peu que possible à la politique intérieure pour conserver son autorité nationale de grand feudataire des Affaires étrangères, et toujours au bord du surmenage. Lorsque que l'on constate, sur une affaire particulière comme l'explosion du « Liberté », due, en 1911, à la mauvaise qualité de la poudre B, le volume et la précision du dossier technique que se constitue aussitôt le ministre de la Marine, on ne peut s'empêcher de regretter que, sur bien d'autres sujets, sans doute, de semblables dossiers ne nous soient pas parvenus.
En dépit de ces lacunes, l'importance du fonds est attesté par l'ampleur même de son inventaire. On espère que la table des matières le rendra plus maniable et le détail des pièces, évocateur. Ses imperfections ne sont que trop évidentes. Mais aller plus avant dans le travail eut été transformer un inventaire en catalogue raisonné, ébauche déjà de cette définitive mise au point sur Delcassé qu'un futur historien, gràce à la donataire, pourra écrire un jour.
[1] En effet, Théopile Delcassé est en partie resté dans l'histoire comme l'un des grands artisans de « l'Entente cordiale » entre la France et le Royaume-Uni avec une série d'accords bilatéraux en 1904.
[2] Sauf le dossier des élections dans l'Ariège, aucune liasse ne concerne l'activité de Delcassé avant son arrivée au ministère des Affaires étrangères. Rien, en particulier sur son passage au ministère des Colonies.
[3] Madame Noguès, pour sa part, signale qu'elle conserve le dossier « Vatican » ainsi que les lettres de Nisard, ambassadeur près le Vatican.
[4] Suzanne Laurence Delcassé (1889-1965), fille de Théophile Delcassé, qui épousa Charles Noguès en 1921.
[5] Ce travail, très partiellement fait en ce qui concerne la correspondance de Paul Cambon, publiée aux éditions Grasset (1946), suffit à révéler tantôt des lettres intrégralement inconnues, tantôt partiellement altérées.
[6] Cf. en particulier M. [Pierre] Renouvin in « L'époque contemporaire », coll. Clio, t. II, chap. IV, p. 513 : état des questions.
Évaluation, tris et éliminations, sort final
Aucune élimination.
Mode de classement
Cet inventaire est une reprise synthétique de l'inventaire analytique (auquel il manque la page 233, qui n'a pu être retrouvée), qui a été numérisé sans reconnaissance optique de caractère ; les identifications ont été corrigées, certaines lacunes ou déplacements de documents signalés.
Outre sa correspondance avec des diplomates disséminée dans le fonds, on trouve quelques papiers personnels de Mme Noguès, y compris relatifs à son époux le général Noguès, dont un document de 1929 qui doit provenir de son passage à la direction des affaires indigènes à Rabat.
Conditions d'accès
Communication libre.
Conditions d'utilisation
Suivant le règlement de la salle de lecture.
Langue des unités documentaires
Autre instrument de recherche
Répertoire numérique détaillé par Vincent Monnet et Clément Noual, La Courneuve, décembre 2020, 18 p. Voir l'instrument de recherche.
Inventaire analytique par Pierre Nora, 248 p. dact. consultable en salle des Inventaires à La Courneuve.
Documents en relation
Archives diplomatiques, site de La Courneuve :
Correspondance politique et commerciale
Série A, guerre 1914-1918, 1CPCOM.
Papiers d'agents et archives privées (PAAP)
papiers Camille Barrère, 8PAAP ;
papiers Robert de Billy, 21PAAP ;
papiers Paul Cambon, 42PAAP ;
papiers Jules Cambon, 43PAAP ;
papiers Jean Doulcet, 240PAAP.
Bibliographie
Andrew (Christopher), Théophile Delcassé and the making of the Entente Cordiale, MacMillan / Saint Martin's Press, 1968, 330 p.
Claeys (Louis), Delcassé, Alcala, 2001, 345 p.
Delcassé et l'Europe à la veille de la Grande Guerre : actes du colloque tenu à Foix, les 22-23-24-25 octobre 1998, organisé par le Conseil général de l'Ariège, Archives départementales de l'Ariège, 2001, 415 p.
Neton (Albéric), Delcassé (1852-1923), Imprimerie du Messager eudois, coll. Académie diplomatique internationale, 1952, 570 p.
Porter (Charles W.), The Career of Théophile Delcassé, Philadelphie, University of Pennsylvania Press, 1936, 356 p.
Renouvin (Pierre), La politique extérieure de Th. Delcassé, CDU-SEDES, 1962, 53 p.
Roussel (Luc), Delcassé devant l'opinion publique française lors de la crise de Fachoda, thèse présentée à l'école des gradués de l'Université Laval à Québec, avril 1977, 225 p.
Zorgbibe (Charles), Théophile Delcassé, le grand ministre des Affaires étrangères de la IIIe République, Éditions Olbia, coll. Histoire, 2001, 387 p.
Mots clés producteurs
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Notes
Très copieux dossiers où chaque article concernant Delcassé est découpé, collé sur une feuille et parfois commenté par Mme Noguès.
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