Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Origine
Biographie ou Histoire
Des relations diplomatiques furent établies entre la France et la Roumanie en 1880 avec la nomination de Jules Ducros-Aubert, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire le 20 février 1880. Jusqu'à cette date, le consul général de France à Bucarest dépendait de l'ambassadeur de France à Constantinople.
Modalités d'entrées
Rapatriements successifs au CADN.
Accroissements
Fonds ouvert.
Informations sur le traitement
Missions archives du 6 au 13 juillet 1984 (Mme Pozzo di Borgo et M. de Framond), du 3 au 7 juillet 1989 (Mme de Nomazy) et du 17 au 28 juin 1996 (Annie-France Renaudin et Ariane Morais-Abreu), du 8 au 12 avril 2019 (Sylvie Prudon, secrétaire de Chancellerie, agent du Pôle Traitement.)
Mots clés lieux
Mots clés matières
Mots clés producteurs
Cote/Cotes extrêmes
Date
Organisme responsable de l'accès intellectuel
Importance matérielle
Caractéristiques physiques
Origine
Biographie ou Histoire
Le 20 novembre 1948, les autorités communistes dénoncent unilatéralement les accords de coopération signés par la Roumanie avec la France le 31 mars 1949, ce qui entraîne la fermeture de l'institut français. Les établissements et les postes d'enseignement en Roumanie sont supprimés. Une bibliothèque très réduite subsiste, appelée "bibliothèque de la Légation de France".
Roland Barthes quitte le poste de directeur de l'institut en mars 1949 et prend les fonctions d'attaché culturel à la Légation de France à Bucarest.
Histoire de la conservation
Une mission d'archives s'est rendue à Bucarest du 17 au 28 juin 1996. L'institut français et le service culturel ont fait l'objet de simples visites au cours desquelles la mission a laissé des recommendations. Les archives de l'institut ont été rapatriées sur Nantes en août 2005 et c'est seulement lors de leur traitement que l'on a découvert les dossiers de la légation mélangés aux archives de l'institut français à Bucarest. Ceci s'explique probablement par le fait que le service culturel a occupé l'immeuble de l'institut français entre 1965 et 1969, avant de déménager rue Christian Tell.
Modalités d'entrées
Versement enregistré sous le n°2005/40.
Présentation du contenu
Ce sont les archives ayant trait aux questions culturelles produites par la légation puis l'ambassade de France à Bucarest. Elles complètent les archives déjà existantes à Nantes provenant de l'ambassade à Bucarest. Les dossiers, trop volumineux pour pouvoir être réintégrés dans les archives de la légation, font l'objet d'un "supplément" ; celles-ci ont trait aux questions culturelles.
Accroissements
Les archives du service culturel se trouvent toujours sur place. La mission de 1996 a recommandé le tri et la rédaction de l'inventaire des dossiers avant le rapatriement, mais à ce jour, il n'a toujours pas été effectué.
Mode de classement
Les dossiers sont cotés suivant le plan de classement de la légation ; les questions culturelles sont classées sous deux cotes différentes :
- 02Bb : relations culturelles franco-roumaines
- XXI. : œuvres françaises en Roumanie et questions culturelles roumaines
Certains dossiers ont une double cote. Par exemple, dans le dossier "musique", les documents sont cotés 02Bb2 (Relations culturelles ; musique) ou bien XXI.10.B (Propagande artistique ; musique). Ils ont été regroupés sur place dans un même dossier (02Bb2).
Une autre côte apparaît vers 1965. On le constate sur le courrier mais surtout sur le registre d'enregistrement de la valise arrivée. Le plan de classement correspondant à ce système de cotation n'a pas été retrouvé. Il est probable que ce soit un plan de classement adopté par le service culturel qui s'est doté d'un service d'archives autonome en 1965.
Langue des unités documentaires
Autre instrument de recherche
Etat de versement des archives rapatriées de la légation puis de l'ambassade de France à Bucarest, Archives culturelles, 1941-1969, Poste, juin 1996, CADN, 2005, 2008, 7 p., dactyl.
Voir l'instrument de recherche
Documents en relation
On consultera au CADN les archives de la légation puis de l'ambassade de France à Bucarest mais aussi les archives du service des œuvres françaises à l'étranger (SOFE).
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