Fonds Lucien Vogel

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Cote/Cotes extrêmes

20MA/10 (Cote de commande)

Date

1917-1919

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Centre des archives diplomatiques de Nantes

Description physique

L'ensemble se compose de 181 phototypes : 41 plaques de verre au gélatino-bromure de format 13X18 et 18x24, 138 tirages argentiques de format 13X18 et 18X24, et deux négatifs sur support souple de format 13X18.

Origine

Vogel, Lucien Antoine Hermann (1886-1954), photographe et éditeur de presse.

Biographie ou Histoire

Avant la première guerre mondiale, Lucien Vogel est surtout connu dans le monde de l'édition de presse pour avoir lancé les premiers magazines dédiés à la mode féminine comme La gazette du bon ton et Le jardin des modes.[1] 

Dès novembre 1917, il est en contact avec la Résidence générale en tant que collaborateur de la maison d'édition « Emile Levy ». Celui-ci exprime le souhait de l'envoi de Lucien Vogel au Maroc « pour y réunir les documents nécessaires à la publication d'un ouvrage sur l'art marocain »[2].

On peut relier cette commande aux suites immédiates de la 1ère exposition consacrée aux arts marocains, qui s'est déroulée en pleine guerre, au pavillon de Marsan à Paris de mai à octobre 1917[3]. Selon le rapport d'activité du protectorat, la manifestation est un succès pour la promotion du Maroc puisqu'à cette occasion, « tous les grands périodiques ont publié des numéros spéciaux sur l'art marocain : L'Art et les artistes, France-Maroc, la gazette des Beaux-Arts, etc[4] ».

C'est en tant que militaire que Lucien Vogel arrive ensuite au Maroc en 1918, comme « engagé volontaire spécial » pour la durée de la guerre.[5] Il y restera un certain temps après sa démobilisation, puisqu'il est domicilié à la date du 11 mars 1919 à l'adresse Riad zeitoun kadim (Marrakech). Il sera rejoint par son épouse Cosette de Brunhoff, et leur fille Marie-Claude.

Sur cette période, il aurait été incorporé au service des « Beaux-arts, monuments historiques et des antiquités », récemment créé à l'initiative du résident général Lyautey[6]. C'est probablement à ce titre, qu'il réalise les clichés d'architecture qui composent içi la majeure partie du fonds.

 

[1] Voir S. Kurkdjian, L'édition de presse suivant Lucien Vogel : l'inventivité dans la diversité. Revue de la Bibliothèque nationale de France, n° 49, 2015.

[2] - Minute de la correspondance du cabinet civil de la Résidence générale n° 2732 du 13 novembre 1917 (1MA/2/3). L'Office du Protectorat à Paris chargé de la promotion des intérêts coloniaux au Maroc, est un intermédiaire essentiel entre la résidence et les organes de presse et éditeurs parisiens.

[3] Joseph de la Nézière, adjoint au chef du service des Beaux-Arts est chargé de l'organisation de cette manifestation (1MA/2/2, minutier de la correspondance, lettre n°97 adressée aux chefs de régions, 12 avril 1917).

[4] Rapport mensuel d'ensemble du Protectorat, -section des arts indigènes- décembre 1917, [CADN Per 16]

[5] Après plusieurs reports d'incorporation, par exemption du conseil de réforme en 1914 puis 1917, il est engagé le 28 septembre 1918 au 6ème régiment d'Infanterie coloniale du Maroc, à Marrakech, comme « secrétaire ». Source : Archives de Paris, registre matricule 1906, 3ème bureau, n° 5001. [D4R1-1374].

[6] Service créé par arrêté du 26 novembre 1912.

Histoire de la conservation

Ces photographies ne représentent évidemment qu'un reliquat de ce que l'on imagine avoir été la production de Lucien Vogel lors de son séjour au Maroc. Elles ont été conservées à la résidence générale à Rabat puis se sont retrouvées dans le « fonds iconographique » de l'ambassade de France, au milieu d'un ensemble composite identifié comme « photos anciennes » détenu par le service de presse et d'information, jusqu'à la décision de leur rapatriement au début des années 1990.

Modalités d'entrées

Versement administratif de l'Ambassade de France au Maroc.

Présentation du contenu

Le fonds a d'abord été identifié grâce aux étiquettes apposées sur les boites contenant les plaques de verre : « Clichés L. Vogel-Maroc, 1917-1919 ». Par ordre d'importance, la collection se compose de photographies de l'architecture marocaine, de quelques scènes de rue et enfin d'une curieuse série de portraits féminins. La boîte ayant contenu ces derniers clichés portait une étiquette avec la mention « types et costumes féminins ».

 

Bien que l'origine des clichés représentant le patrimoine marocain (mosquées ou medersa, portes et fortifications de villes) soit vraisemblablement à mettre en relation avec l'activité du service des Beaux-arts, on note l'absence totale de tampon de ce service au verso des tirages papier. Parmi les annotations figurant sur les tirages, une identification succinte -à la mine de plomb ou à l'encre- du monument concerné ainsi que la codification propre au photographe, à savoir une ou deux lettres désignant l'édifice ou encore la ville (A pour Attarine, C pour Cherratine, MK pour Meknès, etc.) suivi d'un numéro de prise de vue. S'y ajoute de temps à autre une brève instruction pour effectuer un recadrage, privilégier un angle de vue ou un détail d'ornementation.

 

Certains clichés de cette série ont été utilisés intégralement ou partiellement, dans au moins deux projets éditoriaux importants : celui de Joseph de la Nézière intitulé Les monuments mauresques du Maroc qui est un ouvrage illustré de planches héliogravées hors-texte paru en 1921 et celui de Jean Gallotti, Le jardin et la maison arabe au Maroc, édité en 1926, tous deux aux éditions Albert Lévy. Dans la préface de son livre, Jean Gallotti revient sur la genèse du projet et en attribue d'ailleurs la paternité éditoriale, à Lucien Vogel « C'est en 1918 que Lucien Vogel m'a demandé d'écrire ce livre. J'ai, me dit-il, un grand nombre d'excellents clichés ; d'autre part j'ai demandé à Laprade, architecte du nouveau palais de la Résidence générale, de me réserver un choix dans les charmants dessins dont ses carnets sont pleins : l'illustration ainsi est déjà assurée ».

Les photographies réutilisées dans la composition de ces deux ouvrages sont signalées dans le répertoire, en note de bas de page, avec renvoi au numéro de la planche lorsque cette reprise est manifeste.

Évaluation, tris et éliminations, sort final

Conservation intégrale. Les documents ont été conditionnés selon leur support matériel.

Accroissements

Le fonds est clos.

Mode de classement

Les photographies sont classées selon la thématique représentée, indépendamment du support.

Le choix d'un classement géographique par ville s'est imposé puis par type d'édifice (mosquées, medersa, palais ou maisons particulières, portes et fortifications, sites et jardins).

L'analyse archivistique a consisté en une identification du monument et dans la mesure du possible du sujet représenté (élévation, détail d'architecture, etc.) La « légende » figurant au verso de la photo a été reportée en italique ainsi que la codification choisie par le photographe (lettre/chiffre).

Le cas échéant, une annotation dans le corps du répertoire permet de mettre en relation, le tirage et la plaque de verre correspondante.

Conditions d'utilisation

La reproduction est soumise au droit de la propriété intellectuelle en vigueur.

Langue des unités documentaires

Français

Caractéristiques matérielles et contraintes techniques

Le fonds se compose de plaques de verre et tirages papier. Il est en cours de numérisation.Les plaques de verre comme les tirages argentiques sont dans un bon état général. En 2019, les plaques de verre ont fait l'objet d'un nettoyage et d'un reconditionnement dans des boîtes adaptées aux nécessités de la conservation.

Autre instrument de recherche

Répertoire méthodique rédigé par Blandine Morin, chargée d'études documentaires principale, Nantes, 2022.
Voir l'inventaire

Documents en relation

Maison de la photographie de Marrakech

-Fonds Lucien Vogel : collection de tirages argentiques (inventaire non disponible).

Bibliothèque historique de la ville de Paris

- [Intérieur d'un palais marocain] : Photographie, [légende par] Henri Catherine [Annotateur], [ca 1920], [S.l.] : [éditeur inconnu], tirage 23,8 x 18. Cote Ph1066.[1]

Ministère des Affaires étrangères - Centre des Archives diplomatiques de Nantes 

-Fonds iconographique Maroc, 20MA/21 (série K), 1929-1939.

Cette série comporte de nombreuses photos d'architecture et d'urbanisme. On y retrouve notamment une vue de la résidence du général commandant de région Dar Tazi (cote K370) et de la medersa El-Attarine après restauration de celle-ci en 1930 selon un angle de prise de vue quasi identique à l'un des clichés Vogel (cote K345).

Ministère de la Culture

-Plusieurs fonds de photographes professionnels ou amateurs sur la période de l'entre-deux guerres présents au Maroc sont conservés à la médiathèque du Patrimoine et présentés dans la base « Mémoire ».

https://mediatheque-patrimoine.culture.gouv.fr/photographies

[1] Ce tirage porte la référence VM 67 et appartient visiblement à la même série que les clichés du palais de la Bahia annotés VM 66 et 68 dans ce répertoire.

 

Bibliographie

-GALLOTTI, Jean. Le jardin et la maison arabes au Maroc, Paris, Editions Albert Lévy, 1926. Réédition Actes sud/Centre Jacques Berque, 2008.               

-KURKDJIAN, Sophie. Lucien Vogel et Michel de Brunhoff : parcours croisés de deux éditeurs de presse illustrée au 20e siècle. Paris institut universitaire Varenne, 2015. [CADN, BIO]

-KURKDJIAN, Sophie « L'édition de presse selon Lucien Vogel : l'inventivité dans la diversité » dans Revue de la Bibliothèque nationale de France, n° 49, 2015. https://www.cairn.info/revue-de-la-bibliotheque-nationale-de-france-2015-1-page-60.htm

-LA NEZIERE, Joseph (de). Les monuments mauresques du Maroc. Paris, Editions Albert Lévy, Librairie centrale des Beaux-Arts, [1921]. In-folio, XVI-23 p., 52 fig., 100 planches en héliogravure. [CADN, 4°1084]

-RICARD, Paul. Guide de Fès, renseignements pratiques, aperçu historique, principaux monuments, excursions urbaines et suburbaines. Fès, imprimerie municipale, 1916. En ligne sur le site https://ouedaggai.wordpress.com

-« Le Maroc artistique », n° spécial de la revue « L'art et les artistes », textes d'Hubert Lyautey, Raymond Koechlin, Alfred de Tarde, A.R. de Lens et J. de La Nézière, Paris, Editions artistiques de l'art et les artistes, 1917.

-TERRASSE, Henri et HAINAUT, Jean. Les arts décoratifs au Maroc. Paris, Henri Laurens éditeur, 1925. [CADN, 8°4730]

-THELIOL, Mylène. Le Service des beaux-arts, antiquités et monuments historiques, clef de voûte de la politique patrimoniale française au Maroc sous la résidence de Lyautey (1912-1925). In : Outre-mers, tome 98, n°370-371, 1er semestre 2011. Le contact colonial dans l'empire français : XIXe-XXe siècles, sous la direction de Maria Romo-Navarrete et Sarah Mohamed-Gaillard, pp. 185-193    [CADN, Per 99]

Protectorat de la République française au Maroc. Historique de la Direction générale de l'Instruction publique, des Beaux-Arts et des Antiquités (1912-1930) publié à l'occasion de l'exposition coloniale internationale de Paris. Rabat, Ecole du livre, s.d. [CADN 8° 2136]

Mots clés matières

Mots clés auteurs

Mots clés typologiques

Présentation du contenu

 

 

 

 

Fès - Mosquées et medersas

Présentation du contenu

Mosquées :

Fès, mosquée Bou Inania, salle de prière.
Légende : B.18 Bounanya.

Fès, mosquée Bou Inania, détail d'un chapiteau.
Légende : B.21 Mosquée Bouanania.

Fès, mosquée Al-Qarawiyyîn, porte d'une annexe funéraire de la mosquée avec détail des heurtoirs.
Légende : V.M.27. Porte mosquée Karaouyne.

Fès, mosquée Al-Qarawiyyîn, porte d'une annexe funéraire de la mosquée.
Légende : V.M.27 Porte mosquée Karaouyne, photographie détail de l'autre porte avec marteau (TA-M.V)

Fès, mosquée Al-Qarawiyyîn, porte au sud [Bab al-Chemaïn] : détail porte, heurtoirs.

Légende : V.M.25.

Medersas :

Fès, medersa El-Attarine, vue d'une élévation d'un côté de la cour.
Légende : A.6 Attarine.

Fès, medersa El-Attarine, même côté de la cour, détail d'une travée avec fenêtre à l'étage.
Légende : A.19 Attarine.

Fès, medersa El-Attarine, vue d'ensemble de la cour étroite et sans vasque.
Légende : A.5 Attarine, à refaire si possible.

Fès, medersa El-Attarine, chapiteau sculpté.
Légende : A.33 Attarine, à refaire après restauration.

Fès, medersa El-Attarine, angle de la cour, détail du décor de zelliges abîmé.
Légende : A.25 Attarine, "en couleur".

Fès, medersa El-Attarine, partie supérieure de la porte monumentale axiale.
Légende : A.21 Attarine, restauré, à rephotographier.

Fès, medersa El-Attarine, décor de l'angle de la cour avec détail du piédroit.
Légende : A.29 Attarine, "en couleur".

Fès, medersa El-Attarine cour, décor géométrique et colonne.
Légende : A.30 Attarine, "en couleur".

Fès, medersa El-Attarine, élévation d'une arcature à l'angle de la cour.
Légende : A.17 Attarine.

Fès, medersa El-Attarine, décor architecturel, détail du motif de rosaces sur la mosaïque d'un pilier.
Légende : A.15 Attarine, "avec l'inscription, en couleur".

Fès, medersa El-Attarine, détail d'un chapiteau sculpté.
Légende : A.31 Attarine, refaire après restauration.

Fès, medersa El-Attarine, porte avec marteau.
Légende : A.1 Attarine, faire le marteau seul (A.3).

Fès, medersa El-Attarine, détail d'une arcature.
Légende : A.20 Attarine.

Fès, medersa El-Attarine, détail à l'angle de la cour.
Légende : A.23 Attarine.

Fès, medersa El-Attarine, détail d'un chapiteau sculpté.
Légende : A.34 Attarine, à refaire, prendre après nettoyage celui à gauche de la mosquée.

Fès, medersa El-Attarine, travée de l'élévation sud.[1]

Légende : A.19 Attarine, à photographier sur échafaudage.

Fès, medersa El-Attarine., travée de l'élévation sud.
Légende : A.16, Attarine.

Fès, medersa El-Attarine.
Légende : A.24 Attarine ; à refaire, les verticales sont inclinées.

Fès, medersa el-Attarine, vue centrée sur la porte et la vasque au centre. Personnages dans l'encadrement de la porte.

Fès, medersa El-Attarine, mihrab.
Légende : A.13 Attarine ; photographier 1° détail de la frise sous vitraux, 2° partie supérieure du Mirab

Fès, medersa El-Attarine, vue centrée sur une porte d'accès à la cour.
Légende : F.40 Attarine ; à photographier après restauration.

Fès, medersa El-Attarine, angle de la cour avec un personnage devant une colonne.
Légende : A.14 Attarine ; photographier en géométral.

Fès, medersa El-Attarine, partie du couronnement de l'entrée.
Légende : A.22 Attarine ; trop gris, à refaire avec le cadre d'inscriptions.

Fès, medersa Bou Inania, linteau de bois sculpté.
Légende : AB V, Bounania.

Fès, medersa Bou Inania, linteau de bois sculpté.
Légende : AB VI, Bounania

Fès, medersa Bou Inania, cour des ablutions vue de l'angle de la cour.
Légende : B.10 Bounanya.

Fès, medersa Bou Inania, élévation ouest du sahn, détail d'un pilier entre deux arcades.

Fès, medersa Bou Inania, cour des ablutions : vue d'ensemble, porte dans l'axe et personnage assis devant la vasque.

Fès, medersa Bou Inania, cour des ablutions, détail du couronnement de la porte d'entrée (bois et stuc).
Légende : B.32 Bounania ; photographier dans la grande entrée : 1° un motif plâtre 3 arcades à gauche en entrant, 2° 4 motifs en couleur de zeliges également à gauche.

Fès, medersa Bou Inania, intérieur de la galerie, plafond et décor couvrant la paroi du fond.
Légende : B.34 Bounanya ; 1° photographier le plafond, 2° photographier en couleur 50% de zeliges.

Fès, medersa Bou Inania, détail d'ornement : motifs géométriques et bandeau épigraphique.
Légende : B.38 Bounanya photo en couleur de 4 motifs.

Fès, medersa Bou Inania, détail d'un pilier entre deux barrières en bois, mosaïque et stucs.
Légende : B.44 Bounanya ; à refaire avec [&], les jaunes foncés ont disparu, à faire en couleur 2 motifs, faire aussi la mosaïque sur le pont droit en géométral (sur échafaudage).

Fès, medersa Bou Inania.
Légende : Bounanya 5 ; 1° photographier ce détail [gauche], 2° photographier une barrière.

Fès, medersa Bou Inania, base arcature zellige en résille et stuc.
Légende : B.26 Bounanya ; 1° vue en géométral, 2° photo en couleur d'une moitié du panneau de zelige, 3° photo en couleur d'une moitié du zelige sur cour.

Fès, medersa Bou Inania, vantail de la porte d'axe de la cour, barrière.[2]
Légende : B.29 Bounanya.

Fès, medersa Bou Inania, vue d'ensemble d'un angle de la cour avec le minaret à l'arrière.
Légende : B.6, Bounanya ; 1° photographier détail du minaret en montant sur une terrasse avec le bandeau de zelliges.

Fès, medersa Bou Inania, portail sur le petit Talaa.
Légende : B.4 Bounanya ; 1° photographier de face, 2° le couronnement en bois avant d'être reposé ou sur échafaudage, 3° photographier en couleur dans l'entrée 4 motifs de zeliges.

Fès, medersa Bou Inania.
Légende : B.31 Bounanya

Fès, medersa Bou Inania.
Légende : B.30 Bounanya

Fès, medersa Bou Inania.
Légende : B.40 Bounanya

Fès, medersa Ech-Cherratine, mihrab.
Légende : C.13 Cheratine, essayer d'ouvrir mieux en ne prenant que le mirab jusqu'au motif du dessus

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.16 Cheratine, à refaire

Fès, medersa Ech-Cherratine, vue d'ensemble de la cour.

Fès, medersa Ech-Cherratine, vue d'ensemble de la cour.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.4 Cheratine, à refaire.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.14 Cheratine

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.30 Cheratine

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.29 Cheratine

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.8 Cheratine ; prendre ce motif au fond à gauche

Fès, medersa Ech-Cherratine, console sculptée.
Légende : C.22 Cheratine.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.21 Cheratine : détail motif plâtre résille

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : Cheratine.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : Cheratine ; photographier le plafond, au besoin en 2 parties.

Fès, medersa Ech-Cherratine, décor sculpté.
Légende : C.23 Cheratine.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.20 Cheratine ; à reprendre de face contre le pilier en décentrant

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C.10 Cheratine ; à refaire, si on fait des échafaudages

Fès, medersa Ech-Cherratine, décor architectural.
Légende : C.27 Cheratine.

Fès, medersa Ech-Cherratine.
Légende : C25 Cheratine.

Fès, medersa Al Mesbahia
Légende : M.18 Mesbahia ; trop grise, refaire ce détail [gauche] de plus près en porte à faux et en décentrant.

Fès, medersa Al Mesbahia, arcade avec motif stylisé dans l'imposte.
Légende : M.13 Misbahya.

Fès, medersa Al Mesbahia, détail du motif stylisé de l'imposte
M.15 Mesbahia.

Fès, medersa Al Mesbahia
Légende : M.12 Mesbahya ; 1° photographier un linteau à gauche en entrant, 2° au même endroit le motif du dessous, 3° photographier ce détail [gauche], 4° essayer d'avoir moins gris ?

Fès, medersa Al Mesbahia.
Légende : M.17 Mesbaya [décor : détail supérieur gauche]

Fès, medersa Es-Sahrij, porte d'entrée, cour intérieure avec bassin rectangulaire. Personnage au bord du bassin.[3]

Fès, medersa Es-Sahrij, porte d'entrée, cour intérieure avec bassin rectangulaire. Personnage au bord du bassin.

Fès, medersa Es-Sahrij.
Légende : S.18 Saharidj ; on peut avoir mieux

Fès, medersa Es-Sahrij.
Légende : S.15 Saharidj ; on peut avoir mieux

Fès, medersa Es-Sahrij.
Légende : S.8 Saharidj

Fès, medersa Es-Sahrij.
Légende : S.26 Saharidj ; on peut avoir mieux

Fès, medersa Es-Sahrij.
Légende : S.10 Saharidj

Fès, medersa Es-Sahrij, linteaux et consoles en bois ciselés.
Légende : S.16 Saharidj on peut avoir mieux, à refaire en géométral.

Fès, medersa Es-Sahrij, détail d'un décor
Légende : S.9 Saharidj ; on peut avoir mieux, prendre le côté gauche de la porte en entrant à 1m du sol

Fès, medersa Es-Sahrij, arcature avec fenêtres.
Légende : S.11 Saharidj

Fès, medersa Es-Sahrij, détail d'un ornement sous le linteau d'un portique en bois.
Légende : S.21 Saharidj

Fès, medersa Es-Sahrij, linteau d'un portique avec éléments sculptés en bois. Vue avant restauration.[4]

Légende : S.17 Saharidj.

Fès, medersa Es-Sahrij, éléments d'arcature.
Légende : S.24 Saharidj ; on peut avoir mieux.

Fès, medersa Es-Sahrij, détail ornement bois sculpté en ronde-bosse. [Elément du linteau d'un portique][5]

Légende : S.23 Saharidj

Fès, medersa Es-Sahrij, vue de la cour avec les barrières claustras et l'étage. Personnage à la fenêtre.
Légende : S.3 Saharidj ; 1° photo de ce détail (fenêtre gauche), 2° idem.

Fès, medersa Es-Sahrij, détail d'ornement sculpté du linteau. [Elément du linteau d'un portique]
Légende : S.12 Saharidj.