TRIESTE (consulat)

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Cote/Cotes extrêmes

705PO/1/1-282 (Cote de commande)

Date

1769-1958

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Centre des archives diplomatiques de Nantes

Description physique

282 articles, soit 25,3 ml.

Origine

Consulat de France à Trieste (Italie)

Biographie ou Histoire

Créé en 1769 par Louis XV, le consulat de France à Trieste est situé dans un port franc de l'Adriatique, chef-lieu de la région du Frioul-Vénétie Julienne. Comme tous les postes consulaires, il était jusqu'en 1793 sous la tutelle du ministère de la Marine et des Colonies avant d'être rattaché au ministère des Affaires étrangères. Il dépendit jusqu'à la Première guerre mondiale de l'ambassade de France à Vienne, avant d'entrer en 1919 dans la circonscription de l'ambassade de France à Rome. A la fin de la Première guerre mondiale, le consulat fut provisoirement installé à Venise jusqu'au 1er juin 1920 [1] .

[1] 705PO/1/251.





Après la Première guerre mondiale, le consulat fut provisoirement installé à Venise jusqu'au 1er juin 1920.

Au fil des années, le consulat de Trieste connut une histoire mouvementée, reflétant d'ailleurs le contexte local. De sa création jusqu'à la Première guerre mondiale, il fut situé sur le territoire de l'Empire d'Autriche puis d'Autriche-Hongrie. Le premier consul installé à Trieste, Elzéar Dominique Michel, fut agréé par l'impératrice Marie-Thérèse le 30 juillet 1770. Il nomma aussitôt un vice-consul à Fiume. Selon les années, le consul de Trieste fut quant à lui subordonné ou au contraire responsable de la circonscription consulaire de Venise. Ainsi, en 1806, le consul de Trieste Séguier est subordonné à Jules Bessières, consul général dans le golfe Adriatique en résidence à Venise. Au contraire, de 1919 à 1930, René Dollot est consul général à Trieste et à Venise. Son poste est basé à Trieste. Au fil des années, d'autres postes consulaires furent compris dans la circonscription de celui de Trieste, comme ceux de Spalato (aujourd'hui nommée Split) ou de Raguse (Dubrovnik). La circonscription du poste voyait ainsi ses contours régulièrement modifiés. De 1932 à 1934, Fiume ne forme ainsi qu'un seul consulat avec celui de Trieste, qui fut par ailleurs élevé au rang de consulat général de 1862 à 1940.

Son activité fut affectée à plusieurs reprises par la guerre comme de 1792 à 1798 ou de 1914 à 1919. Mais si la ville de Trieste fut comprise dans le territoire des provinces illyriennes, annexées à l'Empire français de 1809 à 1813, le consulat demeura ouvert durant cette période. Pour René Dollot, « le gouvernement impérial [voulait ainsi] bénéficier d'une expérience irremplaçable » [1] , celle du chevalier Séguier, titulaire du poste depuis 1806. Puis la cité devint italienne durant l'entre-deux-guerres, avant d'être le théâtre d'un conflit avec la Yougoslavie après la seconde guerre mondiale. Près de dix ans furent nécessaires pour dessiner la frontière italo-yougoslave. La ville de Trieste fut ainsi située, à partir de 1947 [2] , dans la zone A du territoire libre de Trieste et fut placée sous contrôle anglo-américain jusqu'en 1954 où elle redevint italienne. Il fut impossible pendant ce temps de rouvrir le consulat de Trieste. En effet, le consul nommé à l'automne 1945 ne fut jamais autorisé par le commandement allié à rejoindre son poste [3] . Le consul de France à Venise fut donc provisoirement chargé des « affaires administratives » de la circonscription de Trieste. Ce n'est que le 1er janvier 1955 que la France put à nouveau disposer d'une représentation consulaire dans la région du Frioul et de la Vénétie Julienne. En 1956, la circonscription du consulat comprenait ainsi les provinces de Gorizia, de Trieste et d'Udine. Ce ne fut d'ailleurs que pour peu de temps, puisque le consulat de Trieste laissa sa place à une simple agence consulaire dès mars 1958, ses prérogatives ayant été confiées au consulat de Venise, qui portait désormais le titre de consulat général à Trieste et à Venise.

[1] René Dollot, Trieste et la France (1702-1958) : Histoire d'un consulat, Paris, 1961, p. 83.
[2] Selon les termes du traité de Paris.
[3] Cf. le dossier « consulat de Trieste » dans le carton 579PO/2/28 du fonds de l'ambassade de France à Rome.

En trois siècles, de nombreux consuls furent nommés à la tête du consulat de Trieste. Le plus célèbre d'entre eux, Stendhal, n'y fit qu'une brève apparition. Nommé le 25 septembre 1830, il n'arriva dans la ville que deux mois plus tard. Or, l'exequatur lui ayant été refusé par Metternich, Henri Beyle fut nommé à Civita-Vecchia dès le 5 mars 1831. Il quitta donc Trieste après avoir remis ses fonctions à son successeur, André Levasseur, trois semaines plus tard. Parmi ses prédécesseurs, on peut distinguer Pierre de Framery, qui parvint à se maintenir à son poste de 1786 à 1792 puis de 1798 à 1806, aussi bien sous l'Ancien Régime, la Révolution que durant le Consulat ou l'Empire. Ce consul avait deux fils qui travaillaient également en poste [1] . Étienne fut ainsi le vice-consul de son père en 1786. Pour autant, contrairement à celui de Venise, le consulat de Trieste n'a jamais été celui d'une famille. La plupart de ses titulaires restèrent à sa tête moins de dix ans. L'un des seuls consuls demeuré quinze ans (de 1815 à 1830) à ce poste, le comte Delarue, laissait la plupart du temps ses prérogatives à des gérants, afin de se rendre à Vienne pour défendre les droits des dotataires en Illyrie. Mais l'on peut distinguer l'un de ses successeurs, René Dollot, qui rouvrit le consulat après la Première guerre mondiale et y demeura douze ans. Cet amateur d'histoire est le premier à s'être intéressé à l'histoire de cette institution, à laquelle il a consacré de nombreux articles avant de publier un livre intitulé Trieste et la France (1702-1958) : histoire d'un consulat [2] .

[1] Une partie de leur correspondance avec leur père est conservée dans l'article 705PO/1/282 de ce fonds.
[2] René Dollot, Trieste et la France (1702-1958) : histoire d'un consulat, Paris, 1961, 259 p. Se reporter à la bibliographie pour obtenir la liste des articles du même auteur consacrés au consulat de France à Trieste.

Histoire de la conservation

Le consulat de Trieste disposait d'une salle des archives où étaient conservés ses documents anciens en cartons ou liasses ficelées. Des inventaires étaient régulièrement rédigés à l'occasion des remises de service entre un consul et son successeur, mais beaucoup ont aujourd'hui disparu ou sont très succincts. De plus, à plusieurs reprises au cours de ses trois siècles d'existence, le consul dut remettre la garde de ces documents à un confrère étranger pour cause de conflit entre la France et l'Autriche ou l'Italie. Ainsi, le consul des Etats-Unis se vit confier les archives du consulat de France au début de la Seconde guerre mondiale. À la fermeture du consulat, les archives ont été transférées, par camion, le 24 mars 1958 au consulat de France à Venise. Elles sont alors demeurées pendant deux ans dans la cave de ce consulat. Elles y ont fait l'objet d'un tri : les archives antérieures à 1942 ont été versées à la direction des archives du ministère des Affaires étrangères en 1960 et par la suite transférées à Nantes. Les archives plus récentes sont demeurées à Venise mais ont souffert par la suite des inondations et de destructions, ce qui explique qu'il en reste très peu aujourd'hui.

Par ailleurs, les registres de correspondance 6* et d'actes de chancellerie 157*, qui couvraient la période où Stendhal était consul à Trieste, ont été envoyés par le consul Yves Barbier au service des archives du MAE en 1955 et ont été conservés au Quai d'Orsay [1] jusqu'à ce qu'ils rejoignent le reste du fonds au centre des archives diplomatiques de Nantes.

[1] Ils étaient alors classés dans la série Mémoire et Documents, respectivement cotés M. D., Fonds France et Fonds divers, Addendum, M. D. Rome, 136-1 pour la correspondance et M.D., Fonds France et Fonds divers, Rome, Addendum 136-2 pour les actes de chancellerie.

 

Modalités d'entrées

Versement.

Présentation du contenu

Le fonds du consulat de France à Trieste est constitué en premier lieu d'une importante série de correspondances, notamment avec le ministère de la Marine puis le ministère des Affaires étrangères des années 1780 à 1914, ou avec des particuliers, qui offrent des informations riches et variées sur la vie du consulat et de la circonscription dont il était chargé. On peut y trouver des informations au sujet de la vie politique austro-hongroise au XIXème siècle (le consul Henri Boyard s'interroge par exemple dans une lettre du 8 mars 1885 sur l'appartenance de Trieste et de Fiume [1] à un même état) et les questions frontalières en Europe centrale jusqu'à la Première guerre mondiale. Mais cette série de correspondance est très lacunaire après 1914 et il n'en subsiste aucun document après 1939. Le fonds ne donne donc que peu d'informations sur l'installation du fascisme en Italie ou le difficile dessin de la frontière italo-yougoslave après 1945. Par contre, il comporte une série intéressante de correspondance et de dossiers sur le thème des provinces illyriennes créées par décret par Napoléon en 1809 et dont Trieste faisait partie, abordant aussi bien des questions militaires que consulaires ou commerciales.

[1] Aujourd'hui Rijeka, ville de Croatie, tandis que Trieste est devenue italienne.

De plus, les archives décrites dans ce répertoire donnent de multiples informations sur l'activité économique et maritime de la région, notamment des ports du littoral adriatique. Or la ville de Trieste acquière un intérêt commercial indéniable à partir de 1719, où elle devient un port franc sur décision de l'empereur Charles VI. Il est envisagé dès 1759 d'y ouvrir un consulat dont le titulaire serait le sieur La Vergne mais le poste n'ouvre véritablement que le 22 mai 1769. Dès lors, le consul joue un rôle d'observation des affaires maritimes et commerciales qui se traduit par l'importance des dossiers sur ces thèmes retrouvés dans le fonds, qui permettraient d'étudier les échanges et la production dans un port franc de l'Adriatique aux XIXème et XXème siècles. Le fonds du consulat de Trieste contient ainsi une série très complète d'états récapitulatifs de la navigation et du commerce du port de Trieste de 1819 à 1869, de nombreux mémoires sur les échanges en Autriche-Hongrie en général et dans les ports de l'Adriatique en particulier. La correspondance du consul avec le ministère des Affaires étrangères ou des particuliers donne également de nombreux compléments d'informations sur la vie économique du port, et plus généralement de la région. Tous ces documents intéresseraient l'histoire commerciale (notamment au sujet des échanges avec la France) et maritime. Le fonds contient en effet de nombreux dossiers thématiques, des dossiers individuels de navires et des actes de chancellerie liés à la navigation qui, bien que les séries soient souvent lacunaires, fourniraient matière à une étude intéressante.


Pendant l'entre-deux-guerres, le consul joue également un rôle culturel réel, appuyé par le développement du service des œuvres françaises à l'étranger, créé par un décret du 15 janvier 1920. Les dossiers thématiques de Trieste offrent une matière assez riche pour étudier les différentes facettes (soutien aux écoles enseignant le français en Italie, organisation de conférences&) de ce nouveau rôle du consul qui n'était pas sans  arrière-pensées politiques.


Enfin, le fonds permettrait une passionnante recherche sur la vie de la colonie française à Trieste. Les multiples actes de chancellerie conservés pour le XIXème et le XXème siècle abordent tous les aspects de la vie de cette colonie : les actes d'état civil comme les registres d'immatriculation fournissent de nombreuses informations sur sa composition. Les dossiers militaires, d'affaires particulières, de pensions&, quant à eux, donnent une idée des évènements qui ont pu jalonner la vie des Français installés à Trieste.

Mais le fonds du consulat de France à Trieste ne comporte malheureusement que peu de documents du XVIIIème siècle ou d'après 1940. Combler ces lacunes nécessitera d'avoir recours à des fonds complémentaires, comme celui de l'ambassade de France à Rome.

Évaluation, tris et éliminations, sort final

Le fonds du consulat de France à Trieste a été l'objet de plusieurs traitements, avant ou après son rapatriement. Y furent donc retirés à plusieurs reprises des documents produits par les postes de Fiume et de Venise pour constituer des fonds indépendants. Lors du récolement des archives du consulat de Trieste en 2000, il en a ainsi été retiré 5 articles qui sont venus augmenter le fonds Fiume. Le classement du fonds du consulat de Venise en 2002 a au contraire permis de retrouver un registre appartenant au fonds Trieste. Au cours du classement de ce dernier en 2012, quelques dossiers supplémentaires en ont été extraits pour enrichir le fonds du vice-consulat de Fiume, ainsi que ceux des postes de Venise et de Raguse, ayant été manifestement produits par eux.


Le fonds de Trieste contient également des papiers privés laissés par les consuls. On a choisi de ne pas y maintenir les papiers du consul Delarue, car ceux-ci concernent une mission qui lui a été confiée alors qu'il était consul, mais qui s'est poursuivie des années après qu'il eut quitté son poste. La mission en question concerne les dotations en Illyrie, province alors dans la circonscription de l'ambassade de Vienne, fonds auquel l'on a décidé d'intégrer ces documents. Par contre, il a été choisi de garder dans ce fonds les papiers privés du consul Pierre Framery, qui datent de la période où il était en poste à Trieste. Il y aborde notamment à plusieurs reprises divers aspects de son travail.


Aucune élimination n'a été pratiquée. Cependant, un carton d'archives du XVIIIème siècle, contenant dix-sept pièces concernant le port et l'hôpital de la marine de Brest a été retiré du fonds. En effet, malgré les recherches réalisées, il n'a été trouvé aucun élément qui puisse montrer que ces documents avaient été produits ou reçus par le consulat de France à Trieste.

Accroissements

Fonds clos.

Mode de classement

Le fonds du consulat de France à Trieste mesurait au préalable 27mètres linéaires. Par commodité, il avait été divisé en deux séries : la série A rassemblait les registres (1770-1941) et la série B, elle-même divisée en de multiples sous-séries thématiques, regroupait 208 cartons. Quelques liasses, qui pour la plupart n'avaient jamais fait l'objet d'une description, complétaient ce fonds.

Ces documents étaient dans le poste même de Trieste organisés selon des plans de classement successifs, plus ou moins respectés, aboutissant à une certaine confusion. On ne retrouvait guère trace, dans l'organisation interne du fonds, des périodes d'exercice des consuls ou d'évènements véritablement fondateurs pour l'histoire du consulat. Le plan de classement adopté en définitive est donc assez classique et tente de refléter l'organisation d'un service consulaire. . Il distingue les cartons de correspondance, les dossiers thématiques (affaires maritimes et commerciales, affaires politiques et affaires culturelles), les documents produits par la chancellerie et les dossiers touchant au fonctionnement du poste lui-même.

À l'intérieur de ces grandes parties, selon le principe de respect de l'ordre originel, il a été décidé de respecter au maximum les modes de classement des dossiers choisis par le consulat. Ont donc été conservées intactes les séries déjà constituées, comme celles d'affaires particulières et de dossiers de navires. De même, le poste rangeait certaines séries de dossiers individuels, comme ceux de rapatriement, de manière thématique. Il a été décidé de conserver cette organisation cohérente. Mais le fonds gardait la trace des différents plans de classements successifs, ce qui avait abouti à la dispersion de certaines séries de documents qu'il a été choisi de recréer, quand cela était possible. Ainsi, plusieurs dossiers sur le fonctionnement du port de Trieste dispersés dans les séries « Affaires maritimes » et « Port de Trieste » ont été rassemblés et remis dans un ordre chronologique pour constituer les articles 130 à 132 du fonds. Par ailleurs, le centre des archives diplomatiques de Nantes a pour usage de privilégier un classement chronologique des documents, sauf dans le cadre de dossiers nominatifs où un ordre alphabétique peut être adopté. Enfin, dans le classement de la correspondance consulaire, il a été choisi de mettre en valeur les postes avec lesquels Trieste avait le plus de contacts, que ce soit les ambassades de Vienne et de Rome auxquelles le consulat fut tour à tour rattaché, ou des postes consulaires, comme Spalato, Venise ou Fiume, qui ont tous été pendant au moins un temps appartenu à la circonscription de Trieste.


Conditions d'accès

Ce fonds d'archives publiques est communicable selon les termes des articles L213-1 et L213-2 du code du patrimoine modifié par l'ordonnance 2009-483 du 29 avril 2009.


Langue des unités documentaires

La majorité des documents sont en français, mais le fonds contient également de nombreuses pièces en italien, ainsi qu'un certain nombre de documents en allemand et quelques rares pièces en latin, en espagnol, en anglais ou en grec.

Autre instrument de recherche

Répertoire numérique des archives rapatriées du consulat de France à Trieste (1769-1958), dressé par Ségolène Cuerq, étudiante en master 2 "Histoire et métiers des archives" à l'université d'Angers, sous la direction de Jérôme Cras, conservateur en chef du patrimoine, Nantes, 2012, 62 p. dactyl.

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Documents en relation

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A compléter par :

CADN - 1AE/177 - Archives provenant du consulat de France à Trieste (1802-1832). Cette liasse de correspondance, en provenance essentiellement de l'ambassade de France à Vienne, vient partiellement combler la lacune présente dans l'article 705PO/1/49.

Bibliographie

Histoire diplomatique française

BAILLOU (Jean) (dir.), Les affaires étrangères et le corps diplomatique français, Paris, 1984, 2 volumes, 841 et 1018 p.

DEGROS (Maurice), « La création des postes consulaires et diplomatiques français de 1815 à 1870 », Revue d'histoire diplomatique, 1986 numéros 1-4, p. 219-273.

DEGROS (Maurice), « L'administration des consulats sous la Révolution (1789-1799) », Revue d'histoire diplomatique, 1982, numéro 1-2, p. 68-111.

DOLLOT (René), « Stendhal consul de France à Trieste », La Revue de Paris, mars-avril 1927, p. 562-603.

DOLLOT (René), Trieste et la France (1702-1958) : Histoire d'un consulat, Paris, 1961, 259 p.

DOLLOT (René), « Un ami de Casanova, le comte de Saint-Sauveur, consul de France à Trieste, 13 juillet 1772 à 9 mars 1781 », Archeografa Triestino, vol. XIX, série III, XLVII, p. 49-94.

DOLLOT (René), « Un collaborateur de Stendhal à Trieste : Étienne Louis Chevalier, chancelier du Consulat de France », Brochures diverses : mélanges contemporains MO-6 (12) à MO-6 (30)

MÉZIN (Anne), Les consuls de France au siècle des Lumières (1715-1792), Paris, 1997, 974 p.

Histoire de l'Italie

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CENTRE GÉNÉALOGIQUE DE L'OUEST, Les Français en Italie, Nantes, Centre généalogique de l'Ouest, 2001, 2 vol.

DURAND (Jean-Dominique), L'Italie de 1815 à nos jours, Paris, 2010, 155 p.

GRANGE (Daniel-Jacques), L'Italie et la Méditerranée (1896-1911) : les fondements d'une politique étrangère, Paris, 1994, 2 tomes, 1702 p.

PÉCOUT (Gilles), Naissance de l'Italie contemporaine : 1770-1922, Paris, 2004, 407 p.

ROMANO (Sergio), Histoire de l'Italie du Risorgimento à nos jours, Paris, 1977, 375 p.

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Napoléon et son administration en Adriatique orientale et dans les Alpes de l'Est 1806-1814, Zagreb, 2005, 1078 p.

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ZWITTER (Fran), Les provinces illyriennes : cinq études, Paris, 2010, 218 p.

 

Mots clés lieux

Mots clés producteurs

Cote/Cotes extrêmes

705PO/1/140-143 (Cote de commande)

Date

1801-1940

Provinces illyriennes

Cote/Cotes extrêmes

705PO/1/140-141 (Cote de commande)

Date

1801-1813