BANGUI (ambassade)

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Cote/Cotes extrêmes

67PO-68PO (Cote de commande)

Date

1910-1995

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Centre des archives diplomatiques de Nantes

Description physique

466 articles

Origine

Ambassade de France à Bangui (République centrafricaine)

Biographie ou Histoire

Les français colonisèrent la région à la fin du XIXe siècle et l'administrèrent sous le nom d'Oubangui-Chari. Bangui fut fondé en juin 1889 par Alfred Uzac, sous l'impulsion d'Albert Dolisie, au confluent de l'Oubangui et du M'Poko. De 1928 à 1931 eu lieu la plus grande insurrection coloniale de l'époque, la guerre du Kongo Wara. En 1940, l'Oubangui-Chari se rallie à la France libre, aux côtés des forces alliées.



Le pays devient la République centrafricaine le 1er décembre 1958. Le premier chef de l'État, Barthélemy Boganda, est considéré comme le père de la Nation centrafricaine. Parlementaire à Paris, il prônait depuis longtemps l'indépendance des colonies et avait proposé la création d'un état d'Afrique centrale unique, regroupant Gabon, Congos, Cameroun et Centrafrique. Il y voyait la seule solution permettant d'éviter l'éclatement de la région en territoires trop petits, non viables, et sans rôle à jouer sur la scène internationale. Il avait aussi plusieurs fois dénoncé les abus de pouvoirs des colons et de l'ancienne puissance dominatrice dans son pays, et s'était par là attiré beaucoup d'ennemis à l'intérieur (propriétaires de concessions, hommes politiques confédérés à la France...) comme à l'extérieur du pays. Il fut l'auteur de brûlots réguliers et de demandes de maintien de tous les droits français au peuple d'Afrique équatoriale française. Il meurt le 29 mars 1959, peu après son élection, dans un accident d'avion dont les causes n'ont jamais été élucidées.



Le pays proclame son indépendance le 13 août 1960 et David Dacko, le cousin de Boganda, devient président de la république. À la fin de l'année 1965, le chef de la gendarmerie tente un coup d'État contre le président David Dacko et envoie également des gendarmes pour tenter d'arrêter son autre cousin, Jean-Bedel Bokassa. Retournant la situation à son profit, Bokassa neutralise la gendarmerie et renverse Dacko à son propre avantage.



Il accède au pouvoir le 1er janvier 1966, à la faveur de ce qu'on appela le « coup d'État de la Saint-Sylvestre ». Le 2 avril 1968, il participe à la création de l'Union des états d'Afrique centrale (UEAC) avec le Zaïre (actuelle République démocratique du Congo) et le Tchad. Jean-Bedel Bokassa renforce son emprise dictatoriale, s'auto-proclame président à vie le 2 mars 1972 puis se promeut maréchal le 19 mai 1974 ; il se déclare musulman en 1976 et change son nom en Salah Eddine Ahmed Bokassa avec l'objectif de se rapprocher de Kadhafi pour bénéficier de l'aide financière libyenne. En septembre 1976, il dissout le gouvernement pour le remplacer par le Conseil de la révolution centrafricaine. Son cousin David Dacko, dont il avait prit la place à la tête de l'État et qu'il avait fait emprisonner, devient son conseiller.



Bokassa se couronne empereur le 4 décembre 1977. Il revêt pour l'occasion le même costume que le maréchal Ney lors du sacre de Napoléon Ier. Son titre complet était « empereur de Centrafrique par la volonté du peuple centrafricain, uni au sein du parti politique national : le MESAN » (Mouvement pour l'évolution sociale de l'Afrique noire).



Le 20 septembre 1979, alors que Bokassa Ier se trouve en Libye, le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE, future DGSE) lance l'« opération Barracuda ». Le lendemain, après la prise de la capitale, David Dacko annonce officiellement la chute de l'Empire centrafricain et proclame la République. Il succèdera brièvement à Bokassa, puis est chassé du pouvoir en 1982 par le général André Kolingba, qui établit un régime militaire jusqu'en 1993, année où, suivant le courant de démocratisation lancé par le Sommet des chefs d'états africains à La Baule en France, les premières élections multipartites auront lieu.



Ange-Félix Patassé est alors élu président de la République. En 2001, une tentative de coup d'État provoque de violents affrontements dans la capitale, Bangui. Après une nouvelle série de troubles et malgré l'intervention de la communauté internationale, le 15 mars 2003, le général François Bozizé réussit, avec l'aide de militaires et miliciens tchadiens (dont une bonne partie vont rester avec lui après son installation au pouvoir) un nouveau coup d'État et renverse le président Patassé. Le général Bozizé chasse alors les rebelles congolais, auteurs de méfaits et crimes innombrables notamment autour et dans Bangui. Des élections démocratiques et multipartites sont promises par Bozizé qui les fixe, après plusieurs reports dûs à la mise à jour des listes électorales, au 13 février 2005. Il est réélu.



Pour les détails concernant l'administration française en Oubangui-Chari et l'ambassade de France en République centrafricaine, voir les fiches au niveau des sous-fonds.

Présentation du contenu

Le fonds est composé de deux sous-fonds distincts :

* les archives de l'administration française en Oubangui-Chari, rapatriées par l'ambassade quelques années après l'indépendance ;

* les archives de l'ambassade proprement dites produites depuis l'indépendance.

Mode de classement

Voir fiches au niveau des sous-fonds

Documents en relation

Sources complémentaires conservées par le Centre des archives diplomatiques de Nantes :

- Archives de la mission de coopération et d'action culturelle à Bangui
- Archives du consulat général de France à Bangui
- Journaux officiels de l'AEF (1910-1958).

Cote/Cotes extrêmes

67PO/1/1-255 (Cote de commande)

Date

1907-1962

Organisme responsable de l'accès intellectuel

Centre des archives diplomatiques de Nantes

Description physique

255 articles, soit 26 ml.

Origine

Administration française en Oubangui-Chari

Biographie ou Histoire

Aux premières années du XXe siècle, l'occupation française du pays centrafricain se limite à quelques points d'appui, tels Bangui, Fort-Sibut ou Carnot.

Les premières expéditions coloniales amènent la conclusion de traités de protectorat avec un certain nombre de chefferies de la région, traités qui permettent rapidement de déposséder les autorités locales de tout pouvoir au bénéfice de l'administration militaire puis civile des Français.

Le pays est alors exploité par des commerçants et industriels à qui sont délivrées des concessions à partir de la fin du XIXe siècle. Les moyens de l'administration sont extrêmement limités et les effectifs des fonctionnaires très faibles au regard des tâches dont elle est chargée : explorer et occuper le pays, lever l'impôt, favoriser l'action des sociétés et contrôler leurs agents.
 
Jusqu'en 1883, les possessions françaises d'Afrique équatoriale sont administrées par un officier de marine portant le titre de commandant supérieur des Établissements français du golfe de Guinée. Le 16 décembre 1883, l'administration du Gabon est détachée de celle de la Guinée, puis réunie au Moyen-Congo par un arrêté du 11 décembre 1888. Par décret du 28 décembre 1897, le Congo français est réorganisé, le commissaire général du Congo ayant sous ses ordres deux lieutenants-gouverneurs, l'un pour le Congo, l'autre pour l'Oubangui.

Le territoire de l'Oubangui-Chari est formé le 29 décembre 1903 par la réunion des régions du Haut-Oubangui et du Haut-Chari. Le 11 février 1906, un décret créait la colonie de l'Oubangui-Chari, placée sous l'autorité d'un lieutenant-gouverneur. Le 11 décembre 1906, Bangui devenait le chef-lieu de la colonie.

En 1908, le titre de gouverneur général remplace celui de commissaire général et quatre territoires sont créés : Gabon, Moyen-Congo (devenu la république du Congo ), Oubangui-Chari (devenu la République centrafricaine ) et Tchad. Avec le décret du 15 janvier 1910 est instituée l'Afrique-Équatoriale française (AEF) qui succède ainsi au Congo français . Cette organisation subira plusieurs modifications partielles (1934, 1937, 1941, 1944 et 1946).

Le gouverneur général de l'AEF réside à Brazzaville. Il est assisté d'un gouverneur secrétaire général et d'un conseil de gouvernement. Dans chacun des quatre territoires réside un chef de territoire, assisté d'un secrétaire général et d'un conseil privé. Les territoires sont divisés en régions, subdivisées en districts. Chefs de régions et de districts sont des administrateurs de la France d'outre-mer. Il subsiste une administration autochtone subordonnée, formée de chefs de villages, de cantons ou de tribus. Sept communes mixtes ont été créées en 1920, dont une à Bangui.

Durant toute la première moitié du XXe siècle, la colonie d'Oubangui-Chari doit faire face à la concurrence des puissances coloniales européennes ainsi qu'à de nombreuses révoltes. Ses frontières sont constamment modifiées jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Les ressorts et compétences des structures administratives ne sont fixés définitivement qu'en 1958.

Le 13 août 1940, le territoire se rallie au général de Gaulle. En 1946, un collège électoral restreint désigne Barthélemy Boganda comme député, représentant le territoire de l'Oubangui à l'Assemblée nationale. Il est réélu par la suite en 1951 et en 1956. La recherche de l'autonomie politique du territoire se traduit par la création en août 1950 du premier parti national oubanguien : le Mouvement de l'Evolution sociale de l'Afrique noire (MESAN), qui se donne pour tâche de construire une nation et de détruire le lien colonial. La loi du 23 juin 1956 - dite loi-cadre - et les décrets d'application renforcent les compétences de l'Assemblée territoriale oubanguienne et créent un Conseil de gouvernement exerçant la direction des services publics territoriaux.

Boganda, grand conseiller de l'AEF, est élu, à l'unanimité, président du Grand Conseil de l'AEF en juin 1957. Il préconise de constituer un État unitaire largement décentralisé composé de l'Oubangui, du Congo, du Tchad et ouvert à d'autres territoires. L'idée d'une union des États de l'Afrique latine comprenant également les territoires belges et portugais est à l'étude mais le projet n'aboutit pas. Au lendemain du référendum constituant du 28 octobre 1958, la République centrafricaine (RCA) est proclamée.

Peu de temps après, alors que se mettent en place les institutions du nouvel État, Barthélemy Boganda, élu président du gouvernement, meurt le 29 mars 1959 dans ce qu'il est convenu d'appeler un « accident » d'avion. L'évolution constitutionnelle du pays après 1959 traduit une tendance à la concentration des pouvoirs au profit de l'exécutif longtemps dominé par la personnalité du président David Dacko.

État membre de la Communauté, le pays est régi d'abord par la Constitution du 16 février 1959, dont certaines dispositions sont influencées par la Constitution française de 1958. Le régime est d'inspiration parlementaire, à ceci près que le président du gouvernement est à la fois chef du gouvernement et chef de l'État ; responsable devant l'Assemblée, il cumule des attributions que la Constitution de 1958 octroie au Premier ministre et au président de la République. Au lendemain de l'éclatement de la communauté institutionnelle, la loi du 15 décembre 1960 tire les conséquences de l'indépendance et supprime la responsabilité du président et des ministres devant l'Assemblée, sans établir l'élection du président au suffrage universel direct. À la fin de 1962, le MESAN devient parti unique et fait l'objet d'une constitutionnalisation ; peu de temps après, le mandat présidentiel est porté à sept ans.

Histoire de la conservation

Ce fonds a été rapatrié à Nantes en 1968, suite à la mission de Marie-Victoire Duval, conservateur au Département, en juillet 1967. La direction des Archives, soutenue par la direction des Affaires africaines et malgaches, avait en effet souhaité que les reliquats de fonds coloniaux conservés par les ambassades de Brazzaville, Yaoundé, Bangui et Dakar soient rapatriés en France, pour « des raisons politiques », car « il [aurait été] regrettable, ces archives demeurant sur place, que les autorités des Etats indépendants aient éventuellement connaissance de certains dossiers, notamment de ceux qui se rapportent aux dernières années de la souveraineté française » [1] .

En 1949, deux agents nouvellement affectés en Oubangui-Chari reçoivent pour mission de s'occuper d'archives administratives, entassées en vrac dans une cave de l'immeuble « Cabinet-chiffre-APS » : il s'agit sans doute des archives du cabinet du gouverneur n'ayant plus d'utilité courante. Les témoignages de cette époque précisent que des archives étaient conservées dans d'autres bâtiments, sans plus de précisions. Etant donné le très mauvais état des dossiers, des instructions orales sont données par le gouverneur Delteil pour sauver les dossiers qui pouvaient encore l'être : ceux-ci sont déménagés dans le sous-sol du « Palais ». Le reste est incinéré [2] . Peu de temps après ce transfert, les deux agents sont affectés l'un à Bambari, l'autre à la direction du personnel et les opérations de classement interrompues. Quatre ans plus tard, en octobre-novembre 1953, l'un d'eux est à nouveau affecté au traitement des archives qui, entre temps, ont subi de nouveau les assauts des termites, ce qui occasionne de nouvelles destructions dans des dossiers devenus inutilisables. Le mauvais état de certains des dossiers conservés « n'a pas toujours permis à M. Saulet de conserver à ces pièces une présentation impeccable ». Par ailleurs, « n'ayant reçu officiellement aucune directive quant aux archives qu'il convenait de conserver, si ce n'est, de la part de M. l'adjoint au Chef de Cabinet, qu'il fallait s'attacher surtout à l'intérêt historique de ces pièces » et « n'ayant pas non plus de plan de classement à suivre », l'agent s'est inspiré des plans de classement des archives des districts.
 
Au final :
-  « les têtes de chapitres sont très générales ;
-  certaines pièces n'en restent pas moins difficiles à classer parce qu'elles traitent de plusieurs questions extrêmement différentes, relevant de plusieurs rubriques. Elles ont alors été classées dans la chemise relative à la question qui a paru la plus importante ;
-          les sous-dossiers n'existent pas et les pièces ne sont pas non plus classées par ordre chronologique dans chaque chemise. » [3]

Il semble donc qu'un inventaire a été dressé. Ce dernier n'a pas été retrouvé au cours de la mission de Mlle Duval.

Une autre note rédigée par M. Céleste, administrateur de la France d'outre mer, le 2 août 1952 et adressée au secrétaire général décrit des paquets de dossiers, non conditionnés, empilés dans les caves du service des finances et déjà dévorés par les rongeurs. Suite au travail de classement il est apparu que l'essentiel du fonds était composé d'archives comptables : celles antérieures à 1940 ont été détruites, celles postérieures à cette date restaient à reclasser.

Par ailleurs, trois autres catégories de dossiers avaient été identifiées :
-  des archives dites générales, qui « seraient à mettre à la disposition et à confier à la garde soit du cabinet, soit du bureau des Affaires politiques » ;

-          des dossiers « divers, intéressant tout particulièrement certains services du territoire (domaine, eaux et forêts chasses santé enseignement travaux publics agriculture, etc&) »

- enfin des « documents divers (&) intitulés « archives spéciales » qu'il était de [la] mission [de l'agent auteur de la note] de rechercher et de regrouper ». Ces dossiers, qui représentent dix articles, font l'objet d'un inventaire détaillé transmis au secrétaire général dans une note du 8 août 1952.

Cette tentative de réorganisation des archives n'a visiblement pas eu de suite, sinon par la mise à l'abri de quelques dossiers précieux.

 Les archives n'ont apparemment pas été mieux traitées au cours de la période suivante. Les notes laissées par Mlle Duval relatent les conditions de sa mission : les archives étaient toujours dans un grand désordre, suite notamment à « deux déménagements impromptus qui auraient été assurés par la troupe, sans aucune préparation, entre 1959 et 1967 » [4] . Quatre-vingt caisses furent détruites sur place au cours de la mission. Le fonds actuel en représentait huit, dont sept furent transférées au Centre des archives diplomatiques de Nantes.

Le fonds qui se présentait, à en croire les descriptions de l'inventaire, sous forme de liasses, a été conditionné en cartons Cauchard au CADN, hormis les registres. Son traitement s'est déroulé entre 2008 et 2010. L'ensemble des séries a été reclassé et reconditionné dans des chemises et des cartons neufs, les trombones et agrafes ont été ôtés. On notera que certains articles, en mauvais état matériel, restent incommunicables en attendant d'être restaurés.

Modalités d'entrées

Rapatriement par voie maritime réceptionné au CADN en 1968.

Présentation du contenu

Les dossiers sont organisés comme suit :

- Débuts de l'administration coloniale
- Dossiers généraux du Gouvernement central
- Cabinet civil
- Secrétariat général
- Inspection des affaires administratives
- Service des affaires politiques
- Archives des régions
- Registres de correspondance

Mode de classement

Les dossiers de ce fonds étaient inventoriés à l'origine en deux grands ensembles : les archives du gouvernement central et les archives régionales.

Parmi les archives du gouvernement central plusieurs sous-fonds étaient nettement signalés :
- articles 1 à 32 : dossiers intitulés « fonds du Cabinet civil » [1]  ;
- articles 38/1 à 38/32 : « 32 liasses provenant de l'Inspection des affaires administratives (IAA) » ;
- articles 39/1 à 39/3 : « 3 liasses provenant du Secrétariat général » ;
- article 40 : dossiers du cabinet militaire ;
- articles 41/1 à 41/48 : « 48 liasses provenant des Affaires politiques (en grande partie des rapports politiques) ».

A la suite de ces dossiers, les articles 42 à 130 contenaient divers dossiers thématiques toujours inventoriés sous le titre principal « archives du gouvernement central », dans lesquels venaient s'intercaler :
- des « archives régionales » (articles 73 à 94 bis) ;
- une importante série de registres d'enregistrement du courrier numérotés de 101/1 à 101/63.

Le fonds a été traité par grands ensembles, en respectant le principe de provenance des dossiers. Les grandes unités citées ci-dessus ont donc été conservées et reclassées séparément les unes des autres. Avant chaque intervention, un récolement détaillé a été dressé pour faire apparaître la logique des différents sous-fonds et ainsi éviter les erreurs de reclassement. Le fonds a été réorganisé comme suit :
- les archives du gouvernement central, parmi lesquelles se distinguent plusieurs sous-fonds émanant de différents services ;
- les archives régionales ;
- la série des registres d'enregistrement du courrier.

Pour le détail de la méthode adoptée, on se reportera à l'introduction de l'inventaire.

Caractéristiques matérielles et contraintes techniques

Fonds détérioré, partiellement communicable en fonction de l'état matériel des dossiers

Autre instrument de recherche

Inventaire des archives du territoire de l'Oubangui-Chari rapatriées de l'ambassade de France à Bangui, réalisé sur place par Marie-Victoire Duval, conservateur, [1967], 8 p., dactyl.

Répertoire numérique, établi par Audrey Brossard, CADN, 2010, mise à jour 2020, 77 p., dactyl.
Voir l'instrument de recherche

Documents en relation

Pour la période coloniale, Archives nationales d'outre-mer (dépôt d'Aix-en-Provence). Certains instruments de recherches sont consultables au CADN (en usuels, cote ARI/4) :
* Etat des fonds, 1976.
* Archives du gouvernement central de l'Afrique équatoriale française :
- Répertoire numérique de la série B, sous-séries 1B à 8B, correspondance générale des gouverneurs et des commissaires. CAOM, 1969-1970.
- Répertoire numérique de la série B, correspondance générale, sous-série 2B, correspondance ancienne (enregistrement in extenso de la correspondance), 1848-1912. CAOM, 1970.
- Répertoire numérique de la série D, politique et administration générale, sous-séries 1D, 2D, 3D. CAOM, 1970.

Pour la période post-coloniale, sources conservées par le Centre des archives diplomatiques de Nantes :
Archives de l'ambassade de France à Bangui :
* 211 articles (24,6 m.l.), 1960-1995.
    Etat de versement, poste et CADN, avril 1998, 26 p., dact.
* 31 articles (3,41 m.l.) (1984-1994).
Rapatriement complémentaire n°2008/08, récolement effectué en avril 2008, état de versement en attente de validation.

Bibliographie

Pierre KALCK, Histoire de la République centrafricaine, éditions Berger-Levrault, Paris, 1974, 341 p. (8°3472)

Pierre KALCK, Réalités oubanguiennes, éditions Berger-Levrault, Paris, 1959, 356 p. (COOP/C35)

Yarisse ZOCTIZOUM, Histoire de la Centrafrique, tome I, 1879 1959, L'Harmattan, Paris, 1983, 300 p. (COOP18591/C323)

Cote/Cotes extrêmes

67PO/1/60-99 (Cote de commande)

Cote/Cotes extrêmes

67PO/1/74-83 (Cote de commande)

67PO/1/76

Cote/Cotes extrêmes

67PO/1/76 (Cote de commande)

Date

1911-1942

Présentation du contenu

Enseignement :
   
430 - Organisation et rapports sur l'enseignement (1914-1939)
431 - Enseignement privé (1924-1942)
432 - Sport et loisirs (1911-1935)
433 - Enseignement professionnel et artisanal (1918-1941)
434 - Délivrance de diplômes (1924-1932)

Santé publique :

440 - Rapports médicaux (1912-1940)